Un excès d’oméga-6 empêche l’organisme d’exploiter adéquatement ses sources d’oméga-3 et crée un état physiologique propice aux maladies cardio-vasculaires ainsi qu’aux troubles allergiques et inflammatoires. Une étude menée dans les années 1980 a montré que les Britanniques, avec une alimentation plus riche en oméga-6, mourraient plus souvent que les eskimos de maladies cardio-vasculaires. Les eskimos par contre, avec une alimentation plus riche en poisson, obtenaient des apports plus élevés en oméga-3, ce qui favorise une mort par hémorragie.
